Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

LION1

Recherche

       

 

 

JEsusGOld.gif

 

  ROIdesROISGold.gif
                                                                             REVIENT BIENTOT

 

© 2010 NGP.  Tous droits réservés

Archives

10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 13:27

 


Résumé :

Dans UN VOYAGE INATTENDU, Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne.

Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…
Bien qu'ils se destinent à mettre le cap sur l'Est et les terres désertiques du Mont Solitaire, ils doivent d'abord échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbon rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum.

C'est là qu'avec Gollum, sur les rives d'un lac souterrain, le modeste Bilbon Sacquet non seulement se surprend à faire preuve d'un courage et d'une intelligence inattendus, mais parvient à mettre la main sur le "précieux" anneau de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d'or est lié au sort de la Terre du Milieu, sans que Bilbon s'en doute encore…


Ce film fantastique «le Hobbit» de Tolkien serait inspiré de la Bible comme le « Seigneur des anneaux ».

 

 Très peu de personnes en prennent conscience, seuls les lecteurs avertis de la Bible peuvent déceler différentes allusions au Christianisme.

 

Tolkien était un croyant dit-on , un ami de CS Lewis, auteur de la série des « Chroniques de Narnia » parues entre 1950 et 1957.

 

 Il participa également à la traduction de la Bible de Jérusalem, publiée en 1966 et  traduisit le Livre de Jonas.

 

Très attaché à ses enfants, Tolkien inventa pour eux de nombreux contes, parmi lesquels "Le Hobbit".

 

Et vous ? ....Qu'en pensez-vous ?


D. Pamphile

Partager cet article
Repost0
11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 10:19

Julia Bluhm, 14 ans.

Quand elle feuillette les pages de son magazine préféré, Julia Bluhm, 14 ans, ne rêve pas de ressembler aux mannequins immortalisés sur le papier glacé. Bien au contraire ! Cette collégienne ordinaire du Maine est devenue le chef de file d'une nouvelle révolte contre l'industrie de la mode et de la beauté, une semaine après l'annonce du magazine Vogue de ne plus employer des modèles de moins de 16 ans et de promouvoir l'image de personnes en bonne santé.

 

La jeune Julia Bluhm a provoqué un déchaînement médiatique en envoyant aux bureaux new-yorkais de la publication pour ados Seventeen une pétition demandant la fin d'une utilisation excessive de photographies retouchées et la publication mensuelle de clichés de personnes "normales". Blogueuse depuis un an pour le site Spark (Sexualization Protest, Action, Resistance, Knowledge), qui lutte contre la sexualisation des jeunes filles, elle a soumis son idée aux autres blogueurs du groupe avant de mettre sur pied son projet, détaille le New York Times.


"Ces jolies filles que l'on voit dans ces magazines sont fausses, s'insurge la collégienne, qui a posté sa pétition sur le site Change.org. Dans un magazine dont je suis la cible, je m'attends à voir des filles normales, qui me ressemblent." Et de relancer le débat sur les conséquences de la promotion d'images altérées sur les adolescentes : "Troubles de l'alimentation, régimes, dépression et baisse de l'estime de soi."


Une position que partage Lynn Grefe, la présidente de l'Association américaine des troubles du comportement alimentaire. Interrogée par ABC News, elle insiste sur le caractère "vulnérable" des filles de cet âge. "Les publicités ou les photographies dans les magazines ne sont pas la cause directe des troubles alimentaires. Nourrissent-elles ce type de désordre ? L'aident-elles à prendre plus d'importance et dégénérer en maladie chronique ? C'est une évidence", souligne Mme Grefe.

 

"NATUREL ET FIER DE L'ÊTRE"


En une quinzaine de jours, la pétition de Julia Bluhm a recueilli près de 62 000 signatures, et la collégienne a même été reçue par la rédactrice en chef de Seventeen, Ann Shoket. Au terme de leur rencontre, le magazine a publié le communiqué suivant : 

 

"Seventeen promeut l'image des jeunes filles dans leur authenticité. De vraies filles sont mises en avant dans nos pages et aucune autre publication n'accorde autant de place à une telle diversité de taille, de corpulence, de couleur de peau ou d'origine ethnique.

 

Lire la suite ...

Partager cet article
Repost0
29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 10:03
 
Un adolescent de 16 ans a été arrêté au Chili pour avoir tué d'un coup de couteau son frère de 18 ans, avec qui il s'était apparemment disputé pour l'utilisation d'une console de jeux Playstation, a annoncé la police mercredi.
 

Un adolescent de 16 ans a été arrêté au Chili pour avoir tué d'un coup de couteau son frère de 18 ans, avec qui il s'était apparemment disputé pour l'utilisation d'une console de jeux Playstation, a annoncé la police mercredi.

 

La dispute a éclaté à leur domicile de Santiago, lorsque l'aîné, Manuel, a allumé la console de son frère pour jouer, a expliqué l'inspecteur de police Roberto Briones à la presse.

 

Le cadet, dont l'identité n'a pas été révélée, a réclamé sa console et une bagarre s'en est suivie. Il a alors saisi un couteau dans la cuisine et poignardé son frère au thorax, lui infligeant une blessure mortelle, selon la police qui a entendu deux autres jeunes, témoins de la scène.

 

La famille des deux frères a explosé il y a des années et ils vivaient chez une tutrice qui les a sortis d'un centre pour mineurs du sud du pays, auquel leur mère les avait confiés il y a dix ans.

 

La tutrice était absente au moment des faits.

 

Le mineur a été placé en détention et inculpé d'homicide.

Partager cet article
Repost0
24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 23:00

 MazoomNOJOUD VRP 1231342885riée de force en dessous de l'âge légal, abusée sexuellement et physiquement par son mari de vingt ans son aîné, Nojoud Ali est la première Yéménite à avoir osé défier, à l'âge de 10 ans, l'archaïsme des traditions de son pays, en demandant le divorce.
 

Dans les couloirs encombrés du tribunal de Sana'a, personne n'avait pris le temps de la remarquer. Cela faisait des heures que la frêle Nojoud Ali, drapée dans un voile noir, patientait, en priant pour qu'une oreille attentive puisse l'écouter. À midi, la foule se dissipa et un juge finit par s'étonner de ce petit bout de femme recroquevillé sur ce banc désormais vide. «Qu'est-ce que tu attends ?», lui demanda-t-il. «Mon divorce !», lui répondit-elle.

 

À 10 ans, Nojoud fait partie de ces milliers de filles yéménites, mariées au plus jeune âge, selon de vieilles traditions tribales qui perdurent essentiellement en province. Mais, fait exceptionnel, c'est la première fois qu'une jeune mariée osa, ce 2 avril 2008, se rebeller contre les traditions en vigueur. Jusqu'à entamer un procès contre son mari, Faez Ali Thamer, trois fois plus âgé qu'elle. Et à le gagner avec brio, grâce à une mobilisation sans précédent de défenseurs des droits de l'homme et de journaux locaux. Une vraie première. «Au début, j'avais honte d'en parler», murmure la petite fille haute comme trois pommes qui a accepté de nous raconter le récit de ses mésaventures. Avant d'enchaîner, cette fois-ci sur un ton plein d'assurance qui dénote une étonnante maturité acquise au cours de son combat de deux mois :
«Maintenant, je veux retourner à l'école et je veux étudier pour devenir avocate !»

*     C'est au domicile parental, dans le quartier de Dares, où elle a retrouvé ses frères et sœurs, qu'elle nous reçoit. Coincée dans une ruelle poussiéreuse, la maisonnette est composée de deux minuscules pièces sans ventilateur. Des coussins jetés à même le sol forment l'unique mobilier du salon. Un habitat vétuste, typique de l'installation de nombreux villageois venus tenter leur chance dans la capitale, Sana'a, pour n'y trouver que misère et pauvreté, comme Ali Mohammad al-Ahdel, le père de Nojoud. Actuellement au chômage, ce dernier, originaire d'un village de la province de Hajja, doit nourrir deux femmes et seize enfants. Des raisons qui expliquent, bien souvent, la fréquence des mariages précoces, en échange d'un petit pécule. «Quand Faez Ali Thamer, également originaire de Wadi La'a, est venu demander la main de Nojoud, j'ai tout de suite accepté pour pouvoir la protéger. Ma première fille a été kidnappée, je ne voulais pas qu'il lui arrive la même chose», se défend-il, en se réfugiant dans des lamentations douteuses. À ses côtés, Shoya, la mère de Nojoud, acquiesce d'un geste de la tête : «Il nous avait promis d'être respectueux.» Selon la loi en vigueur, l'âge du mariage est fixé à 15 ans pour les filles. Mais de nombreux parents dérogent à la règle en établissant un contrat de mariage stipulant que les relations sexuelles sont interdites jusqu'à ce que la jeune fille soit «prête». Or, ce contrat est rarement respecté.

Le soir des noces, c'est la fête pour Nojoud, qui ne réalise pas bien ce qui lui arrive. «On m'a offert trois robes pour mon mariage, deux jaunes et une marron. Elles étaient très jolies», se souvient-elle, en plissant ses yeux en forme d'amande. Cette fan des jeux de cache-cache qui aime le chocolat, comme la plupart des filles de son âge, n'avait qu'un seul rêve, à part celui d'avoir un jour la télévision : «Ressembler à une tortue, pour me glisser dans l'eau, car je ne suis jamais allée au bord de la mer.» Le mariage, elle ne savait pas trop bien ce que cela signifiait, à l'exception des cadeaux qui viennent avec et d'une maison toute neuve. Ce n'est qu'une fois arrivée au nouveau domicile conjugal, dans le village de Wadi La'a, qu'elle prend conscience de son calvaire. Après lui avoir indiqué sa chambre à coucher, son mari lui fait vite comprendre ses intentions. «Il a voulu qu'on dorme dans le même lit. J'ai refusé et il s'est mis à me courir après. Il a fini par m'attraper et par me faire des choses sales et désagréables», raconte-t-elle. Chaque soir, à la nuit tombée, le même scénario se reproduit : «Dès qu'il rentrait du travail, ça recommençait. Je pleurais en le suppliant de me laisser seule. Il me tapait avec un bâton. J'avais beau crier, personne ne pouvait m'entendre.»

Quelques semaines plus tard, elle se résigne, honteuse, à en parler à ses parents lors d'une visite à Sana'a. Mais ils font la sourde oreille. «Mes cousins m'auraient tué si je déshonorais la famille en demandant le divorce pour ma fille», nous dit le père, engoncé dans sa tunique blanche. Nojoud, elle, refuse de baisser les bras. À force de frapper à toutes les portes, elle finit par recueillir, le mois suivant, le conseil d'une de ses tantes. «Va au tribunal, c'est la seule solution !», lui lance-t-elle, en glissant quelques pièces dans le creux de sa main. Tout juste de quoi monter dans un bus des transports publics.

Dans ce bâtiment si impressionnant, Nojoud se sent perdue. Interpellé par le courage et la détresse de la petite fille, Mohammed al-Ghadhi, le juge, décide de l'héberger chez lui pendant trois jours, et de placer le père et le mari en détention provisoire. Mais la demande de divorce, unique en son genre, n'est pas facile à régler. «Selon les mœurs yéménites, où les règles tribales ont souvent la priorité sur la loi en vigueur, ce genre d'affaires est d'habitude étouffé», confie l'avocate Chadha Nasser, qui se porta volontaire pour défendre Nojoud. Cette spécialiste des droits de l'homme s'en remet alors à son intuition. Le jour du procès, elle convoque les associations féministes et la presse. Le sujet fait la une du quotidien Yemen Times. Sous la pression de l'opinion publique, le divorce est finalement prononcé. Un tabou est brisé. «Ce procès a enfoncé une porte fermée», se réjouit Chadha Nasser. Depuis, une petite dizaine d'autres filles ont osé entamer des procédures judiciaires contre leur mari. Nojoud, elle, prépare son retour à l'école. Elle a réintégré le foyer parental, mais bénéficie du soutien et de la protection de plusieurs associations, ainsi que de son avocate, sa «seconde mère», comme elle l'appelle.
«Quand je serai grande, je veux défendre les gens opprimés. Comme Chadha !», dit-elle.

nojoud%20parc%206

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 11:28

 

 

internet-addictionD'après une récente étude américaine, 8,5% des jeunes de 8 à 18 ans souffriraient d'une dépendance pathologique aux jeux vidéo. Le «hardcore gaming» serait-il un trouble psychologique, au même titre que la dépendance aux jeux de hasard?

 

Les travaux de Douglas Gentile, professeur adjoint au département de psychologie de l'Université d'État de l'Iowa, se base sur les résultats d'un sondage national que la maison Harris Poll a mené en janvier 2007 auprès de 1178 Américains âgés entre 8 et 18 ans. D'après le communiqué de l'Université d'État de l'Iowa, il s'agirait de la première étude nationale montrant une addiction aux jeux vidéo chez les jeunes.

 

La première difficulté qu'on rencontre dans ce type d'étude tient au vocabulaire. En quoi consiste une addiction, ou dépendance pathologique, aux jeux vidéo? Douglas Gentile l'explique en ces termes:

 

«Ce que nous voulons dire par utilisation pathologique, c'est quelque chose que quelqu'un fait - dans ce cas jouer aux jeux vidéo - et qui nuit à son fonctionnement.»

 

D'emblée, le psychologue précise que le caractère pathologique associé aux jeux vidéo ne se mesure pas uniquement au nombre d'heures passées à jouer. «Il faut que le fonctionnement soit affecté de plusieurs façons», ajoute Douglas Gentile.

 

Le psychologue explique qu'il est normal qu'une personne passionnée par une activité, par exemple un sport, voit un ou deux aspects de sa vie perturbés, par exemple passer un peu moins de temps en famille ou partir parfois plus tôt du travail pour s'adonner à son occupation favorite.

 

nm-photo-267447Dans le cadre de cette étude, de plus nombreux aspects de la vie devaient cependant être perturbés pour qu'on puisse parler d'utilisation pathologique des jeux vidéo. Pour fixer des critères plus objectifs, Douglas Gentile a employé la liste des symptômes pour le jeu pathologique («gambling») tels que définis dans la bible des psychiatres américains: le livre DSM-IV («Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders»).

 

Pour être jugée pathologique, la dépendance des jeunes devait satisfaire au moins six des onze symptômes du DSM-IV, mais adaptés aux jeux vidéo, par exemple :

 

«utilisez-vous les jeux vidéo comme une façon de vous évader de vos problèmes ou de vos mauvais sentiments?»,

 

«avez-vous déjà menti à votre famille ou à vos amis à propos de vos habitudes de jeux vidéo?» et

 

«vous arrive-t-il parfois de ne pas faire vos devoirs afin de vous adonner aux jeux vidéo?».

 

Douglas Gentile a été étonné de voir que 8,5% des jeunes de 8 à 18 ans pourraient être classés comme des «joueurs pathologiques», et sa surprise a été d'autant plus grande qu'il a commencé à s'intéresser à l'étude de l'addiction aux jeux vidéo parce qu'il voulait montrer que ce phénomène n'existait pas.

 

Par rapport aux joueurs «non pathologiques» (qui ont six symptômes ou moins), les joueurs pathologiques joueraient environ deux fois plus longtemps (24,6 heures/semaine contre 11,8), auraient des notes significativement plus basses à l'école, et auraient plus souvent été diagnostiqués comme présentant un déficit de l'attention ou un problème d'hyperactivité.

 

Comme c'est toujours le cas dans les études qui établissent des liens entre des facteurs (des corrélations), il faut se garder de conclure trop rapidement sur les liens de cause à effet.

 

«Cette étude ne fournit pas de preuve sur les éventuelles relations causales entre les variables. Il est certainement possible que le jeu pathologique soit responsable des mauvaises performances scolaires, et ainsi de suite, mais il est également possible que les enfants qui éprouvent des difficultés à l'école recherchent davantage les jeux pour ressentir un sentiment de maîtrise, ou que des problèmes d'attention sont à la fois responsables des plus faibles notes et d'un attrait pour le jeu», explique Douglas Gentile dans la discussion de son article.

Le professeur de psychologie de l'Université d'État de l'Iowa entend poursuivre ses recherches sur la dépendance aux jeux vidéo, notamment pour étudier une possible association avec d'autres troubles. Cela, espère-t-il, pourrait aider à mieux comprendre cette addiction et aider à la traiter.

 

Douglas Gentile publiera l'article «Pathological video game use among youth 8 to 18:
A national study» dans l'édition mai 2009 de la revue
Psychological Science, mais ce texte est déjà disponible ici.
Voir également le communiqué de l'Université d'État de l'Iowa et cette courte vidéo de présentation de l'étude.

Partager cet article
Repost0